Moyens de la nutrithérapie (et moyens complémentaires)

imunonutricouv

L’alimentation
– la diététique a jusqu’ici été surtout privative (calories en cas de surpoids, sucre en cas de diabète, sel en cas d’hypertension,  gibier en cas de goutte…)
– les conseils nutritionnels ont une efficacité quasi nulle (le comportement alimentaire est un comportement surtout reptilien et affectif) 
– les régimes court terme ont un intérêt très limité

il s’agit donc plutôt de faire du conseil positif : mettre en avant ce qu’il y a à gagner, un bon aliment chasse un mauvais (quand on mange du poisson on ne mange pas de viande, etc…) et d’introduire, progressivement, mais durablement, de nouvelles habitudes.
Cela requiert la maîtrise de techniques de changement de comportement que s’approprie le patient et la capacité de rééquilibrer les comportements pulsionnels et de dépendance (sucré, alcool, tabac…) via la modulation des  systèmes sérotoninergiques

Les compléments nutritionnels : vitamines et minéraux, acides gras, acides aminés et substances phytochimiques (doses nutritionnelles, de correction de déficit, pharmacologiques)
Les moyens complémentaires : réduction de la charge toxique (environnement et détoxification), phytothérapie, activité physique, ergonomie, techniques d’énergétisation, massages, ostéopathie, cures thermales, outils de gestion du stress, psychothérapie, groupes de soutien et associations de patients, etc…