Plat qui demande peu d’effort de préparation lorsqu’on est fatigué par la maladie
Difficulté:
Temps de préparation: 10 min
Temps de cuisson: 15 min
Nombre de personnes: 4 personnes
Ingrédients:
350g environ de gésiers de canard biologique en bocal de verre
1 poivron vert4 cuillères à soupe d’huile d’olive
4 cuillères à café de GINGEMBRE frais haché très menu, ou en poudre , c’est un ALIMENT PLUS
4 cuillères à soupe d’oignons rouges finement émincés1 cuillère à soupe de curcuma biologique en poudre
Préparation:
Plat accompagné de riz-haricot rouge
– Préparation des GESIERS
Débiter la pulpe de poivron vert, épépinée en lamelles très fines (l’utilisation d’un robot ménager facilite cette découpe).
Faire suer à feu doux avec les oignons et 2 cuillères à soupe d’huile d’olive, à couvert ; mélanger souvent.
Arrêter la cuisson quand les poivrons sont tendres mais encore croquants.
Déposer sur cet appareil les gésiers découpés en tranches épaisses, ainsi que le gras de canard de la conserve ; chauffer l’ensemble à feu doux pendant 5 minutes.
Incorporer le gingembre en fin de cuisson.
– Préparation du RIZ et HARICOTS ROUGES
Pour simplifier, il est tout à fait acceptable d’acheter des haricots rouges déjà cuits mais natures et en bocaux de verre ; compter deux cuillères à soupe par personne.
Pour préparer le riz : mettre à chauffer 2 cuillères à soupe d’huile d’olive dans votre casserole.
Verser ensuite le riz (180 g environ pour 4 personnes) et mélanger à l’aide d’une spatule en bois.
Lorsqu’il est translucide, versez 30 cl d’eau chaude, eau minérale bien minéralisée, et faites frémir.
Ajouter le curcuma, couvrir et laisser cuire à couvert, feu doux de 12 à 15 minutes selon le type de riz.
Servir le riz et les haricots rouges réchauffés ensemble, et y déposer les gésiers chauds.
Quelques remarques :
plat qui demande très peu d’effort de préparation
pas d’ajout de sel puisque les gésiers et les haricots sont en conserve et contiennent déjà du sel
Bénéfices santé:
C’est un plat pauvre en polyamines.
LES POLYAMINES :
sont de petites molécules que l’on détecte dans la majorité des cellules animales et végétales. Elles sont essentielles pour la vie et la division cellulaire ; leur métabolisme est amplifié dans les cellules tumorales.
Une approche thérapeutique très prometteuse consiste à réduire tout apport extérieur de polyamines aux cellules tumorales.
Il est donc tout à fait recommandé, pendant le traitement d’un cancer, de consommer des aliments pauvres en polyamines.
La carence en polyamines permet d’obtenir un effet anti tumoral non négligeable et potentialise l’efficacité de la chimiothérapie.
Ce traitement est également responsable d’une stimulation de la réponse immune anti tumorale.
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