Bruno Vellas, responsable du gérontopôle du CHU de Toulouse, propose une solution des plus concrètes :
« On sait que l’anxiété augmente à la tombée de la nuit, note-t-il. Faire une promenade à ce moment-là, pour ceux qui le peuvent, est plus efficace qu’un anxiolytique. Une grande campagne pour inciter à l’activité physique et au maintien d’activités sociales au cours du vieillissement serait très utile ! »
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