La quasi totalité des médicaments entraînent des effets anti-nutritionnels soit sur l’absorption, l’interférence avec le métabolisme et/ou l’excrétion urinaire.
Résultats : les traitements sont non seulement moins efficaces mais entraînent des effets secondaires indésirables jusqu’à des rapports bénéfices/risques négatifs.
Or, il devrait obligatoire, lorsque les médicaments sont indispensables, ce qui n’est le cas actuellement que d’une portion réduite d’environ des 2/3 des prescriptions, que soient associés les nutriments antagonisés afin d’éviter ces effets secondaires et les échappements thérapeutiques, ce qui n’est pratiqué que dans de rares cas comme pour les corticoïdes et le potassium.
Nous verrons les différents cas de figure et détaillerons les mesures à prendre en fonction des médicaments les plus prescrits comme les antalgiques, les statines, les anti-hypertenseurs, les diurétiques, les anti-diabétiques, les anti-épileptiques, les antibiotiques, la trithérapie, les corticoïdes, la pilule, le THS, les inhibiteurs de la pompe à protons…
Puis nous passons en revue la bibliographie des études concernant les protocoles de nutrithérapie thérapeutique dans
• le surpoids
• le syndrome métabolique
• le diabète
• les pathologies cardiovasculaires
• les pathologies hématologiques
• les pathologies néphrologiques
pour lesquelles de grandes percées ont été faites qui permettent de proposer en traitement ou en co-traitement des prescriptions nutritionnelles et de complémentation validées.
Avec les avancées de la recherche, la nutrithérapie, devenue incontournable, peut permettre une considérable amélioration de la santé, et ceci, y compris des patients gravement malades, comme ceux touchés par des infarctus, une insuffisance cardiaque ou rénale.
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